Laissez-moi entendre,
Laissez-moi...
Je voulais la voix
Qui dit
Ce que je ne sais pas.
Ce que je ne sais pas encore.
J'aime les sons de la vie,
Le les adore.
Quand arrive le coucher du soleil
(Comme s'il avait des pieds),
Pratiquement je sens leurs pas.
Et quand l'aube me réveille,
Pour la façon de son appel
Je sais les envies qu'elle a.
13 commentaires:
Entendre les bruits du silence, se délecte de la voix du cœur qui me porte à vous ...
Nice vous lire un poète
Greetings from Argentina, de l'affection
Un beso grande para tu alma de poeta
Saludos
Merci beaucoup, mon amie! Je suis très content!
salut.
obrigado pelo teu verso.
e pela tua visita. fico contente.
voltarei por aqui tanbem.
um abraço poético..
Caríssimo, encontrei uma flor que não para de desabrochar, "la fleur du sud". Obrigado por "invadir" meu blog. Amei. Invado teu território, deliberadamente, e não quero ser expulso. Seus versos me dizem malabarismos de palavras jogadas à alma. Não desapareça. Sua aparecência, na minhas entranhas e estranhas palavras vieram apaziguar e incomodar. Amo os paradoxos da vida. Dialeticamente a vida vai cumprindo seu ciclo. Manteremos contato, pode ser? Peguei o seu email para o MSN. Beijos na alma.
Admiro mucho A LOS Que a su Capaces de componer música para el alma.
Ça, va, mon ami?*
D´abord, excuse-moi l´audace. Mais, j´ai beaucoup aimé ton poème et ton Blog. Je te laisses un poème que j´ai fait. Pardonne-moi les fautes orthographes.
DÉLICATESSE
Par Renata
Fais preuve de ta délicatesse
Envers ton ami
C´ est un geste de beauté
- Ca va? Quel plaisir être avec toi! –
Peut-être son combat sois plus dur
Ça n´est rien, ça c´est de la délicatesse
Donne-lui ton main sûre!
C´est une vertu pleine de noblesse,
Parce que il y a un attribut moral,
Nous ne pouvous nous échapper
De l´impure malice de notre monde,
De la méchanceté,
Mais, par contre,
La délicatesse viens de notre Coeur,
Viens de notre désir d´amour et paix
Et de la compréhension
LE RESTE NOUS SERA OFFERT
“PAR DÉLICATESSE, J´AI PERDU MA VIE”, VERS D´ARTHUR RIMBAUD, DANS SON POÈME “CHANSON DE LA PLUS HAUTE TOUR”.
Je t´embrasses du fond de mon coeur et je te laisses une fleur,
Merci Bien*
Bonjour tourjours,
Renata Cordeiro
Merci bien, mon cher ami*
Bonne année pour toi aussi*
Renata
Ça va, mon ami? Je te laisse une traduction et je te demande si tu as e-mail, parce que j´ai des livres publiés, comme des anthologies des poèmes du français (du monde entier), que j´ai preparées et traduites. Tu peux laisser ton e-mail dans un commentaire et je ne le publierais pas . J´ai fait mon post de Bonne Année. Sois bienvenu*
Bisou,
Renata
ALEXANDRE O’NEILL (poeta português: 1924-1986)
Pula pula
g
como o g da pul a
***
Saute saute
r
comme l’r de la saute elle
Traduzido pela Renata em 1995
Eh bien! Ce que m'a ammené ici c'est ton commentaire sur le blog de Mauricio, le professeur.
Je suis toqué de votre sensibilité.
Je vou suis,maintenant.A bientôt!
Cher Abdoul,
Je te remercie pour ta visite et tes charmants mots dans mon espace vert.
Cela vaut la peine d'être à l'écoute ! Joli poéme !
Je dispose de peu de temps maintenant mais je reviendrai avec plaisir revoir ton blog dans quelques temps, c'est promis !
Je te souhaite également une excellente nouvelle année et beaucoup de bonheur !
Amitiés
Verdinha
querido amigo,
obrigada pela visita em meus blogues,espero sua visita mais vzs.Estou seguindo teu blog,
boas energias
Mari
E tudo é intenso,
demais.
Ce que je ne sais pas.
Ce que je ne sais pas encore
HEUREUSEMENT ON A LE JOUR SUIVANT POUR SAVOIR QU'ON A TOUJOURS LA POSSIBILTE DE CHANGER, D´APPRENDRE.
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